COMMENT DEVENIR TUTEUR ?

Qui sont-ils ?

Chaque année, 70 tuteurs suivent les cordialistes dans leur mission. Chaque jeune est accompagné par un tuteur dans la préparation initiale de son projet jusqu'à l'achèvement de son mémoire. Ce tuteur est hors de son réseau de connaissance, ce qui permet au candidat de bénéficier de l'apport, du soutien de quelqu'un d'extérieur, qui est ni de sa sphère familiale, universitaire, ou encore amicale.

Lors de son action de solidarité internationale, le jeune envoie chaque mois un rapport d'étonnement faisant part de ce qu'il découvre, vit au sein de son expérience. Le tuteur lui répond, et ainsi, le cordialiste peut s'interroger en profondeur, et en toute confiance sur tous les sujets émanant de ses nouvelles rencontres interculturelles.

Le tuteur est une richesse de la pédagogie d'Intercordia, et les anciens cordialistes peuvent témoigner qu'il est un atout précieux dans leur mission.

Devenir tuteur

Être tuteur, c'est avoir le désir d'accompagner un plus jeune que soi lors de sa mission humanitaire.

Un tuteur doit avoir le sens de l'écoute et le souhait de faire grandir l'autre dans le respect de sa différence ; il aime se questionner sur le monde, et s’intéresser à ce qui est nouveau.

Tout le monde peut être tuteur dès lors qu'il a cette motivation intérieure et cette sagesse de vouloir épauler le cordialiste tout au long de son expérience interculturelle.

Si vous êtes intéressés ou curieux d'en savoir plus sur le tutorat, vous pouvez nous contacter ici.


Le feedback de Julie par rapport à son tuteur

 

 

  "Super ! Un vrai soutien moral. Ni mes parents, ni mes amis, ni mon journal de bord. Je pense que c’est une vraie force d’Intercordia !         Je pense vraiment que mon expérience aurait eu moins de sens sans ce tuteur. Chaque jour, j’analysais beaucoup  plus      les choses, j’essayais de comprendre mes réactions et celle des autres. Écrire mon rapport d’étonnement me prenait environ une               semaine mais c’était un travail vraiment constructif qui permettait de prendre du recul.

         Son retour me permettait aussi d’avancer, de grandir et de continuer d’observer et d’analyser le monde qui m’entourait."